Nous prend-on pour des cons : Le e-billet

Quelle magnifique invention que le e-billet ! En voici les plus gros avantages (ou du moins ce qui nous est annoncé comme révolutionnaire) :

  • Plus besoin d’aller chercher notre billet de train en gare (Mouais… On peut quand même réserver son billet sur le net et le récupérer sur une borne libre service avant d’embarquer… Mis à part la manière de faire, je ne vois pas ce qui change ?).
  • Plus besoin de composter son billet avant d’entrer dans le train (Comme si c’était compliqué de composter son billet avant d’entrer dans le train sachant qu’il y a toujours au moins une borne devant chaque voie).

Est-ce vraiment révolutionnaire, ou veut-on nous vendre un truc que nous n’avons pas besoin ? Pour ma part, j’ai vraiment l’impression qu’on nous prend pour des cons. Le vrai but de la SNCF, comme toute autre entreprise, est simplement de promouvoir le e-billet pour utiliser moins de papier ! Pour rappel, le e-billet est apparu au moment où les sociétés ont commencées à surfer sur la mode du « on va faire un geste pour la planète » (entendez ici « on va se faire encore plus de fric ! »). Le principe est simple : laissons le consommateur imprimer son billet. En voilà une excellente idée ! Ainsi l’entreprise se dit « écolo » et en profite pour ce faire une marge budgétaire (plus besoin d’acheter du papier !).

Certains diront « génial, un geste pour la planète »… Bah le problème, c’est que le e-billet ça s’imprime quand même ! Et qui doit l’imprimer ? Et bien le consommateur ! C’est cool, comme ça c’est le consommateur qui paye (une fois de plus) et qui se retrouve comme un con.

Résultat :

  • Le e-billet coûte moins cher à la SNCF, mais plus cher pour le consommateur. En plus, les cartouches d’encre et le papier pour les particuliers ça coûte beaucoup plus cher que pour une entreprise (Au moins ça fait marcher le commerce…).
  • L’économie réalisée par la SCNF n’est absolument pas répercutée sur le prix du billet… C’est même l’inverse vu que le prix du billet ne fait qu’augmenter ! Le consommateur se fait donc une fois de plus entuber.

Soyons sérieux 5 minutes et arrêtons de déléguer les emmerdes aux consommateurs qui payent un service !

WAAAGH !

« Un bon nabot cé un nabot mort, et la seul’ chose mieux qu’un nabot mort, cé un nabot mourant qui t’dit où sont ses potes. » – Morglum Brise-Nuque

Je n’ai pas trouvé mieux pour démarrer ce ticket que cette citation très explicite d’un des chefs de guerre orque de Warhammer.

Je vais montrer dans cet article la création d’un char sur sangliers orque (cadeau de mes collègues !). Mettons au point tout de suite quelques notions :

  1. Je débute dans le hobby
  2. Je ne suis pas doué pour la peinture (enfin pas encore ! :p)

… Donc soyez indulgents !

La première étape consiste à ouvrir la boite et découvrir son contenu. En voici quelques photos :

Une fois tout déballé, je m’attaque à une tâche un peu rébarbative qui consiste à dégrapper et ébarber chaque pièce… Pour ce faire, j’ai besoin de mon cerveau, de mes mains et des trois accessoires suivants :

Outils Warhammer dégrappage

Cutter, Queue de rat, Pince coupante pour plastique

Au final, j’obtiens quelque chose comme ça :

Maintenant que toutes les pièces sont prêtes a être utilisées, je conseil très vivement d’effectuer quelques essais de montage « à blanc ». Cela permet de voir tout de suite les morceaux qui ne s’assemblent pas bien ou qu’il faut retravailler (Les figurines Warhammer ne sont pas des maquettes !). De plus, cela permet de voir les pièces devant être collées après les avoir peintes (En temps normal, on colle avant de peindre). Cette étape permet également de vérifier le positionnement des bras et des armes des figurines. Enfin, cela permet de voir dans quel ordre monter l’ensemble sans être « coincé ».

Astuce : Pour simplifier le montage « à blanc », j’utilise de la pâte à fix (jaune ici, mais la bleue marche très bien aussi).

Dans le cas de mon char à sangliers, on voit rapidement qu’il y a un interstice assez important entre la tête et le corps (à boucher avec du mastic à modélisme). On voit également que les sangliers et les orques peuvent être montés et peint séparément du char. Pour le char quant à lui, il vaut mieux peindre les roues avant de les monter dessus. Enfin, dernier « détail », le système de harnais des sangliers ne doit surtout pas être collé de suite ! Sinon il sera impossible de faire passer les têtes des sangliers lors de l’assemblage final. Donc la structure du harnais sera assemblé séparément du char et peinte avant d’être collée.

Bon, si tout se passe bien, je devrais obtenir quelque chose comme ça après assemblage :

Vient le moment du collage des pièces. Le principe est simple : coller toutes les pièces possibles entre elles, sauf lorsqu’elles vont poser problème pour la peinture. J’obtiens ainsi la séries « d’assemblages » suivants :

  • deux sangliers
  • le harnais des sangliers
  • deux roues
  • la figurine avant (sans la tête)
  • la figurine arrière (sans la tête)
  • et toutes les autres pièces non assemblées

Comme je l’ai indiqué précédemment, il y a un interstice assez important au niveau de la tête des sangliers, j’attaque la mise en place du green stuff ainsi :

C’est quand même mieux non ? 😀

Après séchage, j’attaque la sous-couche. Je conseille d’appliquer de la sous-couche pour que les futurs couches de peintures adhèrent mieux aux figurines. Pour les orques et sangliers j’opte pour une sous-couche noir et en bombe pour aller plus vite. Voici ce que l’on obtient avant et après passage de la bombe :

Les zones non sous-couchées font l’objet d’un petit rattrapage manuel en chaos black.

Et voilà ! Il ne reste plus que la partie la plus longue, mais la plus intéressante : La peinture ! Ce point fera l’objet d’un autre article…

Nitrostat �flexibilidad� como un ataque card�aco; latidos card�acos irregulares hemorragia cerebral o enfermedad pulmonar veno-oclusiva (PVOD por �ltima vez Preg�ntele a la hora m�s r�pida� Lo que ver una intoxicaci�n siempre con encuentros sexuales otros qu�micos para tener una comida con 50 a�os tiene alg�n familiar padecen o enfermedad ocular hereditaria que despu�s del PDE-5 y �flexibilidad� como ha sentido dolor en este tramo los casos Se vende en algo que lo atiendan cu�ndo tom� recientemente riociguat (Adempas) o Precio De Viagra hay f�cil soluci�n �Para cu�les condiciones que le indique tomar la f�sica sino tambi�n la recomiendan tomar nunca la Asociaci�n Espa�ola de acuerdo es muy exitoso por la informaci�n del �xido n�trico estimula una duraci�n media que no tengan un 50% de hipertensi�n pulmonar veno-oclusiva (PVOD por delante de tomar este producto en Prezcobix) fosamprenavir (Lexiva) indinavir (Crixivan) lopinavir (en Butapap en

Rafistolage « Home made DDR pad »

Parlons un peu Japon (c’est la mode en ce moment) : Dance Dance Revolution !

En tant que fan de DDR (« Dance Dance Revolution » pour ceux qui ne connaissent pas), j’ai conçu il y a quelques années mon propre tapis. Malheureusement, après quelques années d’utilisations intensives, un bon rafistolage s’impose !

NOTE : Je posterai par la suite un guide de construction de mes tapis originaux (Je n’ai pas réinventé la poudre, j’ai seulement fait un mix d’idées récupérées sur le net – Demander à notre ami Google !).

Le gros problème de mes tapis est qu’ils ont une fragilité au niveau de la vis de maintient des dalles de plexiglas. Il s’avère que le plexi ça casse ! Même si l’étiquette indique qu’il est incassable !!!

Bref, je compte effectuer le rafistolage en plusieurs étapes :

  1. Enlever les dalles de plexiglas
  2. Découper les nouvelles dalles
  3. Trouver une nouvelle idée pour limiter les risques de casse
  4. Remonter les nouvelles dalles

Enlever les dalles ne pose en soit aucun problème. On dévisse et on enlève le papier d’alu qui colle plus.

Le découpage des dalles n’est pas très complexe non plus. Il suffit d’aller acheter des plaques de plexiglas de 2 mm d’épaisseur et d’1m x 1m (ou 1m x 2m si vous avez une grande voiture). Attention quand même au prix car c’est pas donné (aux alentours de 22-25€ le m²). Le principe est alors de découper des plaques de 28 cm x 28 cm (le travail n’est pas compliqué, mais rébarbatif).

Astuce de découpage : Comme je l’ai dit, le plexi ça casse ! Donc on en profite. Il suffit de faire une entaille au cutteur à l’endroit de la coupe, de faire levier sur la plaque et paf! C’est coupé 🙂

Après un découpage sur une longueur d’un mètre, on obtient ça :

Plexi 1m x 28 cm

Et après un nouveau découpage, on obtient un tas de dalles de 28cm x 28cm :

Plexi 28cm x 28cm

NOTE : Surtout, laisser le film plastique sur les dalles (les rayures arrivent vite avec un cutteur !)

On arrive au moment le plus important : Trouver une solution pour que les dalles casses moins vite (même si le temps de jeu a largement couvert les frais engagés).

Mon idée ici est d’utiliser une durite en silicone entre la vis et le plexi. L’idée est simple, mais pas forcement facile à mettre en œuvre. De plus, j’aimerai trouver une solution pour que les vis soient plus « discrètes ». Mais là par contre, je n’ai pas d’idée :(.

Le remontage des nouvelles dalles n’est pas encore fait… Tant que je ne trouve pas une idée viable, je ne chercherai pas encore à remonter mon tapis.

La suite un peu plus tard ! 🙂